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Spectacle où la question du libre arbitre côtoie un discret hommage à Guy Marchand, un  chanteur de droite qu’on adore

Destinée

Solo ? émancipatif

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Laurent Castel

Auteur, metteur en scène, conférencier, dramaturge, antropopoète, oraliteur, comédien, musicien intuitif et artiste performer polymorphe, fondateur du cercle du chaos, Laurent Castel vous convie à une rencontre expérimentale sociale et philosophique, immersive et interactive. Une tentative de transformation par capillarité pour se débarrasser des questions du déterminisme et du consentement.

Une plongée dans le Soi de Laurent Castel qui parle au Nous.

Un pari de rencontre pour changer de vie.

Laurent Castel a écrit un livre, "Destinée" dans lequel il explique le chemin qui l'a conduit à jouer, à vouer sa vie au hasard au moyen de cocottes en papier.

Cette rencontre, il l'envisage comme un dialogue où l'apprenant doit se sentir autorisé à prendre la parole et à interroger la pensée du sachant aussi profonde soit elle.

Une source d’inspiration : Le roman de Luke Rhinehart, « L’homme-dé »


Même s’il s’en défend, notre conférencier, Laurent, s’inspire librement de ce roman mettant en jeu un psychiatre cynique et désabusé qui, par un concours de circonstances, va décider de soumettre tous ses choix au hasard au moyen de dés. De là, son approche de la psychiatrie va changer du tout au tout, le hasard ou le chaos se propulsent au centre du processus thérapeutique.

 

C’est un roman des années 70 qui prend à cœur de repousser les limites de la bienséance, qui aborde aussi bien la liberté sexuelle que le meurtre, le libre arbitre que la manipulation…
Dans « Destinée », nous créons un personnage de notre temps qui vivrait selon des préceptes des années 70, années durant lesquelles la question du consentement pouvait sembler anecdotique, voir même anti-créative. Laurent n’a lu que des résumés, des quatrièmes de couv. Il crée un système qui l’arrange, tord la réalité pour en sortir plus grand qu’il ne l’est, adapte son discours pour qu’il s’accorde à ce qu'il appelle les "accidents de la vie"…

 

En cela, même s’il s’en inspire il diffère réellement du personnage de Luke Rhinehart.

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